Grandes Rousses / Arves / Isère / Besse Hautes-Alpes / La Grave
Très beau sommet, isolé, offrant un panorama à 360° sur la Meije, les Aiguilles d’Arves, le Massif très Grandes Rousses et même jusqu’au Mont-Blanc lorsque le temps est bien dégagé… Le sommet est relativement accessible d’un point de vue technique mais la randonnée reste dans un itinéraire de haute-montagne.
Pic du Mas de la Grave depuis le Col Saint-Georges
Accès :
Passé le Barrage du Chambon, prendre à gauche direction Mizoën, puis Besse.
À Besse, traverser le village puis continuer jusqu’au lieu-dit « Le Gay ». En face du camping, emprunter la piste jusqu’au Col Saint-Georges (attention ! éviter les véhicules avec une faible garde au sol qui auront des difficultés dans les virages).
Depuis le parking du Col Saint-Georges, prendre à gauche en direction des ruines du Chalet Josserand puis continuer à droite sur la route.
À la première intersection, laisser sur votre gauche la voie menant au Refuge du Rif Tort et et continuer à descendre sur la voie de droite. La route se termine et laisse place au sentier qui suit le Rif Tort et le quitter juste avant d’en voir la source.
À l’intersection, descendre à droite jusqu’au Ruisseau de Rachat. Passé le ruisseau, prendre rapidement sur la gauche plein Nord en direction du Pic du Mas. Un peu plus haut, le sentier est rejoint par la piste qui remonte du Refuge de la Grande Buffe et du Chazelet, dernière intersection avant le sommet.
Pic du Mas de la Grave depuis le Col Saint-Georges
Départ à Besse (Isère) (Isère)
À partir de cette intersection commence la partie physique du parcours, il reste environ 630 m de dénivelé pour 2,2 km avant le Pic du Mas de la Grave.
Après avoir pleinement profité du sommet, entamer la retour en remontant sur l’antécime qui se situe seulement à quelque mètres du sentier principale et offre un second panorama complété par une arrête particulièrement ciselée et une très belle vue sur le Vallon de la Buffe et le Torrent du Gâ.
km 0 – alt. 2 248 m – Col Saint-Georges
km 0.4 – alt. 2 244 m – Intersection Refuge du Rif Tort
km 3.58 – alt. 2 276 m – Intersection Ruisseau de Rachas
km 5.32 – alt. 2 400 m – Bifurcation
L’ascension sommitale à partir de l’antécime légèrement aérienne peut impressionner les randonneurs sujets au vertige.
km 7.46 – alt. 3 007 m – Pic du Mas de la Grave
km 7.77 – alt. 2 972 m – Cairn de l’antécime
km 14.92 – alt. 2 248 m – Col Saint-Georges
Pic du Mas de la Grave (3020m) par Besse
On arrive enfin sur une arête finale aérienne, pour certains courts passages, mais restant facile (par temps sec). Nous arrivons donc au sommet du Pic du Mas de la Grave (3020m) où le paysage est magnifique et permet d’oublier les efforts de la montée finale.
Sommet du Pic du Mas de La Grave :
Arrivée au sommet, le panorama est incroyablement exceptionnel sur les sommets de la Muzelle, les Grandes Rousses, Le Mont Blanc, les Aiguilles d’Arves et de la Saussaz, le Goleon, Les Agneaux…ainsi que sur le massif de la Meije et le plateau d’Emparis !
Distance totale: 14.58 Km |
Distance analysée: 14.58 Km |
Distance linéaire: 0.02 Km |
Dénivelée positive accumulée: 851 m | |
Dénivelée négative accumulée: 849 m | |
Altitude maximale: 2980 m | |
Altitude minimale: 2213 m | |
Altitude initiale: 2246 m | |
Altitude finale: 2249 m | |
Pourcentage de montée: 13.53 % | |
Pourcentage de descente: 13.34 % | |
Dénivelée positive par Km: 58.37 m | |
Dénivelée négative par Km: 58.23 m |
Montées | Distance Km | Km au total en % | Vitesse en Km/h | Temps h:m:s | |
Entre 30 et 55% | 0.895 | 6.14 | 5.33 | 0:10:05 | |
Entre 15 et 30% | 1.095 | 7.51 | 5.07 | 0:12:57 | |
Entre 10 et 15% | 0.919 | 6.3 | 5.03 | 0:10:57 | |
Entre 5 et 10% | 1.482 | 10.16 | 5.01 | 0:17:44 | |
Entre 1 et 5% | 1.901 | 13.04 | 4.97 | 0:22:57 | |
Total | 6.291 | 43.15 | 5.06 | 1:14:40 | |
Terrain plat | |||||
Dénivelées de 1 % | 1.925 | 13.2 | 4.99 | 0:23:08 | |
Descentes | |||||
Entre 1 et 5% | 1.878 | 12.88 | 4.98 | 0:22:37 | |
Entre 5 et 10% | 1.542 | 10.58 | 5.03 | 0:18:24 | |
Entre 10 et 15% | 0.857 | 5.88 | 5.03 | 0:10:14 | |
Entre 15 et 30% | 1.185 | 8.13 | 5.1 | 0:13:57 | |
Entre 30 et 55% | 0.901 | 6.18 | 5.25 | 0:10:18 | |
Total | 6.364 | 43.65 | 5.06 | 1:15:30 | |
Total trace: | 14.58 | 100 % | 5.05 | 2:53:18 |
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L’edelweiss, une fleur des montagnes fascinante
L’edelweiss est une plante mythique et rare, à protéger donc, mais aussi à connaître. Découvrez la fleur des Alpes, véritable trésor des montagnes.
L’édelweiss, de la famille des Astéracées, est une vivace à courte durée de vie qui apprécie le soleil et un sol bien drainé. Aux beaux jours, se développent des bouquets de petits capitules blancs, entourés en étoile d’épaisses bractées laineuses.
Dénivelé : 808 m
Distance : 14.5 km
Durée moyenne : 6 h
Passages Vertigineux : non ( ne pas s’approcher des falaises )
Problème d’orientation : non
Accessible en famille : non
-Difficulté physique : niveau 4/5 Difficile.
-La technicité : niveau 4/5 assez difficile ( l’utilisation des bâtons est nécessaire à l’équilibration , usage des mains)
-Le risque : niveau 4/5 élevé ( la configuration du terrain présente des accidents de relief notables, l’exposition au danger est qualifiée de possible et avérée).
Durée , Heures : 6
Difficulté physique : Difficile pour randonneur expérimenté et en bonne condition physique
Difficulté Technique : Difficile portion d’itinéraire nécessitent l’utilisation des mains
Difficulté ( Le risque ) : Difficile risque d’accident consécultifs à une chute ou glissade, relief marqué, exposition au danger sur passages à fort dévers, pentes raides.
ÉQUIPEMENT :
– sac à dos 10 à 35 litres
– chaussures de marche à tige montante et semelles crantées antidérapantes
– sachet pour rapporter les déchets, papier toilette
– vêtements de rechange
– protections solaires
– trousse de premiers soins, couverture de survie
– sifflet
– couteau multifonctions
– bâtons de randonnée
– 2 sangles cousues de 3 m, largeur 2 ou 3 cm + 3 mousquetons à
ouverture rapide et sécurité par vis ( pour fabriquer un harnais de
sécurité ) si besoin .
– téléphone portable
MATÉRIEL SUPPLÉMENTAIRE :
– appareil photo, GPS, …
Vous rêvez de faire un 3 000 m mais n’avez jamais osé ? Le Thabor vous attend ! Sans difficulté technique pour qui a une bonne condition physique, cet itinéraire vous emmène dans l’univers magique de la haute montagne, aux paysages minéraux et majestueux.
PÉRIODES DE PRATIQUES
Du 01/06 au 15/10.
Sous réserve de conditions d’enneigement et météorologiques favorable
La marmotte est un rongeur trapu avec un poil noir, brun ou marron. Elle a de petites oreilles rondes, une fourrure épaisse, un large museau, une longue queue touffue de 15 cm, des pattes courtes avec 8 doigts à l’avant et 10 à l’arrière, avec de longues griffes. Elle mesure entre 45 et 70 cm, pour un poids variant de 4 à 8 kg. On ne peut pas distinguer le mâle de la femelle.
Son lieu de vie
Elle vit en petite colonie aussi bien en montagne (entre 1200 et 3000 mètres) dans les Alpes et les Pyrénées. Fin septembre, elle fait son terrier d’hiver, comportant plusieurs issues, pour hiberner pendant au moins 6 mois.
Son alimentation
La marmotte se nourrit essentiellement de plantes : racines, fleurs, écorces, bulbes, graines et fruits. Elle a d’ailleurs un gros appétit. Elle peut aussi consommer des œufs, des vers de terre et des insectes. Généralement, elle ne boit pas d’eau, elle se contente de l’eau contenue dans les plantes. La marmotte se nourrit notamment au petit matin ou en fin de soirée pour profiter de la rosée des plantes. Elle utilise ses mains pour grignoter sa nourriture.
Sa reproduction
La marmotte atteint sa maturité sexuelle à l’âge de 2 ans. Elle se reproduit après son hibernation, à sa sortie du terrier en mai – juin, et elle ne peut avoir qu’une seule portée par an, composée généralement de 2 à 4 petits. La femelle a une gestation qui dure 33 ou 34 jours. Les petits de la marmotte, qu’on appelle marmottons, naissent aveugles et sans poils. Ils mesurent alors 3 cm pour un poids de 30 g. Ils deviennent autonomes après 8 semaines.
Son espérance de vie
Dans son milieu naturel, la marmotte a une espérance de vie de 12 à 15 ans.
Le cri de la marmotte
La marmotte émet un long sifflement perçant en cas de danger. Pour cette raison, elle porte au Canada le surnom de « siffleux ».
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